A la veille de la rencontre opposant l’équipe de France aux Pays-Bas, retrouvons les propos de Kingsley Coman qui s’est présenté face à la presse ce mardi. L’occasion également d’évoquer la prochaine opposition face au PSG avec le Bayern Munich.
« Comment abordez-vous le match de jeudi contre les Pays-Bas, avec la fin du mercato en vue ?
On parle de ce match mais pas du mercato. La pression est importante comme toujours. Se rajouter de la pression supplémentaire ne servirait à rien. À nous d’être sérieux, de rester concentrés mais de ne pas en faire trop sans avoir peur. Je ne m’inquiète pas pour le groupe. Je sais que tout le monde sera prêt.
Votre dernière convocation remonte à novembre dernier. Didier Deschamps est-il resté en contacts réguliers avec vous ?
Pas régulièrement mais de temps en temps. Il m’appelait pour savoir comment ça allait en club, comment se passait ma rééducation. C’est un petit plus de savoir qu’on n’est pas oublié, d’entendre le sélectionneur prendre des nouvelles.
Avez-vous parlé du PSG à Kylian Mbappé ?
Non, nous n’en avons pas encore parlé.
Le Bayern va rencontrer le PSG en Ligue des Champions. Le Bayern, qui a plus d’expérience et un meilleur palmarès, regarde-t-il le PSG différemment avec son mercato ?
Le transfert de Neymar a apporté quelque chose au club du PSG. Il l’a hissé dans une classe au-dessus même si c’était déjà une bonne équipe. On abordera ce match comme tous les matches face à des adversaires de haut niveau.
Vous allez retrouver le PSG…
J’ai joué neuf ans au PSG. J’ai toujours rêvé du Parc des Princes mais je n’y ai joué qu’une seule fois. C’est un stade mythique pour moi.
La composition de l’équipe semble encore floue pour jeudi.
Floue ? Pas du tout. Le coach sait ce qu’il fait. C’est bien d’avoir du choix, plusieurs options pour débuter un match. Il y a de la qualité. C’est bien pour l’équipe de France.
À l’aller, vous étiez resté sur le banc. Quel souvenir gardez-vous de la victoire à Amsterdam ?
On avait été sérieux, efficaces. Là, ce sera différent. Les enjeux seront différents. Les Pays-Bas auront beaucoup à perdre s’ils ne gagnent pas. Ils vont devoir attaquer. J’espère que la finalité sera la même. »