Pierre Ménès était interrogé par Le Figaro. Retrouvons les propos de Pierre Ménès.
Comment allez-vous?
Mieux (rires)! Je ne pète pas la forme, mais je vais quand même beaucoup mieux. Les progrès se font au jour le jour et, même si j’ai encore du mal à marcher, je n’ai pas à me plaindre. Et puis je suis très bien suivi à l’hôpital Beaujon, où j’ai rendez-vous tous les mois.
Hâte de retrouver le Canal Football Club ?
L’an dernier, je n’y ai effectué qu’une apparition… C’est sûr que l’émission me manquait. Et Hervé Mathoux! Je suis très heureux de retrouver toute l’équipe, d’autant que cette saison de Ligue 1 va être riche et passionnante.
Vous faites notamment référence à l’arrivée de Neymar au PSG?
Entre autres. Sa présence va effectivement susciter de la passion et relever le niveau de cette compétition. C’est l’un des meilleurs joueurs au monde. Ça va sacrément booster la Ligue 1.
Il est aussi sacrément payé…
Je ne trouve pas ça choquant. C’est un joueur exceptionnel, de la trempe de Ronaldo ou de Messi. Et puis c’est le Qatar qui paie… D’autre part, ça va faire beaucoup d’argent pour les caisses de l’État! Enfin, la Ligue 1 va intéresser les pays étrangers, dont certains sont sur les rangs pour les droits de diffusion. Je n’y vois que du positif.
Toujours sniper dans le Canal Football Club?
Je ne suis pas un sniper! Je dis aussi des choses gentilles, mais personne ne les retient (rires).
Vous le serez également dans Touche pas à mon poste! ?
Il faut faire attention, le CSA veille! Je suis heureux de rejoindre l’équipe de Cyril Hanouna. C’est un vrai pari, cette montée en gamme. L’enjeu est de ne pas trop perturber le public qui suit cette émission tout en lui donnant une autre dimension.
Vous allez aussi avoir votre émission Canal+…
C’était déjà prévu l’année dernière, mais… «Le Foutoir» – nom de code – est une émission où on parle de foot avec des filles: Lucie Bacon, Marie Portolano… Il y aura beaucoup de reportages et je mènerais des interviews… On tourne le pilote la semaine prochaine.
Propos de Pierre Ménès via Le Figaro
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