Récemment arrivé à l’Olympique de Marseille, Adil Rami a répondu aux questions des journalistes en conférence de presse hier.
«Adil, racontez-nous un de vos souvenirs d’enfance qui ont fait de l’OM votre club de coeur.
D’abord, il y a eu les matches OM-PSG qu’on regardait avec les copains, et puis évidemment la Ligue des champions, la seule remportée par un club français (en 1993). Automatiquement, ça m’a fait rêver. D’autant plus que suis fréjusien, c’est juste à côté.
Pourquoi avoir fait maintenant ce choix de rejoindre l’OM ?
Marseille est un club ambitieux, avec du caractère, qui a l’envie de retrouver l’élite européenne. Pour moi, c’était le moment parfait pour revenir en France.
Marseille est un club autour duquel il y a énormément de pression. Vous ne craignez pas cet environnement particulier ?
Non, on est des footballeurs de haut niveau. Ce que je recherche, c’est justement cette adrénaline, cette pression, j’ai besoin de cela pour avancer. Ça correspond bien avec mon caractère et aux critères que je recherchais.
Non, je savais que l’OM était déterminé et j’étais plutôt serein. Après, ce qu’a fait Séville dans les dernières heures, ce n’était pas très correct. Mais je préfère avancer et ne plus penser qu’à des choses positives.
La Coupe du monde en Russie avec la France, c’est votre objectif ?
Le plus important pour moi, c’est d’être performant. J’ai envie de ramener l’OM en haut du classement, et si on y arrive, l’équipe de France sera la suite logique. C’est comme ça que je vois les choses.
Pouvez-vous nous dire si Pamela Anderson viendra au Vélodrome cette saison ?
(Rires) Je ne sais pas quoi te dire. J’ai bien appris ma leçon pourtant mais là… C’est ma vie privée et moi je ne suis là que pour le football. Je suis désolé !»