Emery était en conférence de presse à la veille du match face à l’ASSE.

Via psg.fr

Le groupe pour la 37ème journée
« Nous avons convoqué 19 joueurs pour le déplacement à Saint-Etienne. Kurzawa, Krychowiak, Augustin, Ben Arfa et Augustin sont absents pour des raisons médicales. Thiago Motta et Angel Di Maria sont eux suspendus. Je vais donc faire appel à deux joueurs de la CFA : Gaetan Robail et Lorenzo Callegari. »

Le match face à l’ASSE
« Le match de demain est très important. Nos chances de remporter le championnat sont faibles, mais elles existent. Si nous gagnons face à Saint-Etienne, nous pourrons continuer à espérer et c’est essentiel de conserver cet espoir. Il est aussi important à mes yeux de maintenir une certaine régularité pour progresser. Cela passe par une bonne prestation à Saint-Etienne dans un stade qui sera surement plein. Je m’attends à une rencontre disputée. »

La concurrence en Ligue 1
« La concurrence en Ligue 1 est très positive pour l’évolution du football français. Je pense qu’en plus de Nice et Monaco, des clubs comme Marseille ou Lille, avec l’arrivée de (Marcelo) Bielsa, vont venir renforcer cette concurrence la saison prochaine. Cela peut nous permettre de grandir et notamment sur la scène européenne. »

La finale de la Coupe de France face à Angers
« La meilleure préparation pour la finale de la Coupe de France c’est de jouer tous les matches à fond et de maintenir le même niveau de concentration et d’exigence pour arriver au Stade de France dans la meilleure dynamique possible. »

Marquinhos
« Marquinhos est un jeune joueur qui a beaucoup progressé depuis son arrivée au club. Cette saison il a obtenu plus de responsabilités. Cela fait partie de son processus de progression. Cela lui a permis de grandir. Il a gagné en expérience, c’est positif pour lui et pour le club. Je pense qu’un grand avenir l’attend au club. »

A propos Prince Owski 354 Articles
Comme Ole Gunnar Solskjær en 1999, je suis le joker de luxe de DV. Heureux propriétaire du suffixe -Owski. "Qu’importe : on pourra même me traiter de fou, il n’y a que ces couleurs Parisiennes qui illuminent mon cœur. Et à chaque blessure, il saigne ce cœur-là. Mais il s’enflamme encore." Francis Borelli