Diego Rolan se livre pour le site officiel du club girondins. Il y parle du match contre l’ASSE et du choc face à L’OM dimanche.

Le match face à l’ASSE? 
C’était un match difficile. Saint-Etienne est revenu deux fois au score et c’est dommage. Mais si on analyse la rencontre dans son ensemble, c’est un bon point de pris.

Son état de forme 
Je me sens très bien. Je travaille tous les jours aux entraînements. Je suis en forme.

Le choc face à Marseille, une finale pour l’Europe. 
J’ai envie de jouer ce match. J’ai déjà l’expérience de ce genre d’affrontement, contre des grands adversaires. Ce sera une sorte de finale pour accrocher l’Europe.

Les clés pour battre l’OM?
C’est une bonne équipe, dotée de joueurs expérimentés qui savent faire la différence. Ils sont en forme en ce moment alors il faudra rester attentifs et concentrés. Nous devons jouer notre jeu pour faire la différence.

Ça fait 39 ans que Bordeaux reste invaincu sur sa pelouse face à l’OM. Est-ce une pression supplémentaire ?
Peut-être un peu oui car cela fait longtemps que Marseille n’a pas gagné ici. Nous n’avons pas envie que cette série s’arrête lors du prochain match. Mais il faudra rester sereins avant la rencontre. Nous devons faire le travail pour que tout se passe bien.

Meilleur buteur du club en Ligue 1 cette saison, avec huit réalisations. Une stat importante ? 
Oui merci. C’est important pour moi car je joue moins ces derniers temps. Je suis tout de même le meilleur buteur du club en championnat donc je suis content car cela signifie que j‘ai bien fait mon travail. Néanmoins, j’ai envie de marquer toujours plus de buts. Donc j’espère être décisif dans les deux derniers matches de la saison.

Marquer contre l’Om et donner la victoire à Bordeaux, un rêve?
Oui, bien sûr, ce serait un rêve pour moi. Et si je continue à en rêver peut-être que ça arrivera dimanche soir !

A propos Prince Owski 354 Articles
Comme Ole Gunnar Solskjær en 1999, je suis le joker de luxe de DV. Heureux propriétaire du suffixe -Owski. "Qu’importe : on pourra même me traiter de fou, il n’y a que ces couleurs Parisiennes qui illuminent mon cœur. Et à chaque blessure, il saigne ce cœur-là. Mais il s’enflamme encore." Francis Borelli