Différents acteurs se sont exprimés sur Nantes, alors lisons les ! Les propos de Der Zakarian sont tirés de l’émission « Le Vestiaire » de SFR Sport. Ceux de Deschamps du fanzine nantais « Le Vestiaire Nanatais » tandis que ceux de Veretout le sont d’un entretien accordé au magazine en ligne « But Football Club ».

Der Zakarian

Quand j’ai joué à Nantes [1979-1988], il n’y avait pas cette ferveur-là, avoue-t-il d’abord. Pourtant j’ai démarré avec Michel, Bossis et Tusseau. A la Beaujoire, je n’avais jamais vu un public aussi chaud qu’aujourd’hui. Lors de la montée, il y a quatre ans [en 2013], c’était extraordinaire…

Ce fut un déchirement de partir l’été dernier car c’est un public merveilleux, j’étais malheureux de les quitter mais c’est la vie d’un entraîneur.

Vous êtes un public merveilleux, lance-t-il. Je vais peut-être paraître un peu vulgaire, mais vous me faites bander…

Didier Deschamps

[A propos de l’entraîneur Nantais] :  Il a du caractère et il a ses méthodes, reconnaît Deschamps, qui a joué contre le Portugais en Italie et en sélection. C’est quelqu’un qui de la personnalité, avec un franc-parler. […] Les résultats lui donnent raison.

[A propos des résultats] : A partir du moment où les résultats sont là et l’ambiance au stade est revenue à la normale, c’est bien.A un moment, c’était vraiment plus que tendu. On avait du mal à imaginer Nantes avec un côté révolutionnaire comme ça…

Jordan Veretout

[A propos du nouveau coach et du match à venir contre Nantes]: Je suis très content qu’il ait redressé la barre. Le nouveau coach a fait énormément de bien. Nantes est sur une bonne dynamique. Ça joue bien, ça court. Ce sera un match difficile.

[A propos d’une fin de carrière à Nantes] : On verra. J’ai été formé là-bas. Le FC Nantes restera toujours dans mon cœur. Mais la fin de ma carrière, c’est encore loin et on ne sait jamais de quoi demain sera fait. J’espère avoir encore pas mal de saisons à vivre devant moi.

A propos NSOL 837 Articles
« Quand un vrai génie apparaît en ce bas monde, on le peut reconnaître à ce signe que les imbéciles sont tous ligués contre lui ». (Jonathan Swift, 1667-1745)